Bibliothèque des Archives nationales du monde du travail
Détail de l'auteur
Auteur François Caron
(1931-2014)
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Documents disponibles écrits par cet auteur (21)
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Titre : |
L'aluminium français, instrument d'une stratégie de groupe 1911-1960 (Vol 1 & 2) : Thèse d'histoire contemporaine pour l'obtention du grade de docteur de l'université Paris IV - Sorbonne |
Type de document : |
Littérature grise |
Auteurs : |
Florence Hachez-Leroy, Auteur ; François Caron (1931-2014), Directeur de la recherche |
Editeur : |
Paris : Université Paris IV-Sorbonne |
Année de publication : |
1995 |
Importance : |
thèse reliée |
Format : |
A4 |
Note générale : |
Avec le concours de l'Institut pour l'Histoire de l'Aluminium |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
aluminium industrie et commerce histoire formation professionnelle France accords commerciaux innovations diffusion France 20ème siècle cartels France politique commerciale relations économiques internationales ventes promotion |
Résumé : |
L'Aluminium Français était un cartel créé par les cinq producteurs français en 1911. Il fut chargé de développer les applications d'un matériau très jeune, issu de la technique de l'électrolyse. Le procédé Hall/Héroult de fabrication de l'aluminium avait été mis au point en 1886. Plus qu'un cartel, L'A.F. s'avéra être une société commerciale. Elle intervint activement sur le marché français, au niveau de la recherche, de la propagande et de la formation. Elle s'engagea, en amont de la filière aluminium, dans l'électricité et l'alumine, ainsi qu'en aval, avec la transformation. Simultanément, elle tenta de s'imposer sur le marché mondial, au sein d'autres cartels, et par des opérations dont la plus marquante fut la mise en chantier d'un site de production aux U.S.A., en 1912. L'A.F. fut aussi l'instrument d'une stratégie de groupe. La Compagnie des Produits Chimiques d'Alais et de la Camargue (P.C.A.C, à l'origine de la Société Pechiney), en absorbant trois des cinq membres du cartel, devint la Compagnie Alais Froges et Camargue (A.F.C.), le plus gros producteur français. Désormais filiale de cette compagnie, L'A.F., par son implication dans la transformation, prépara l'intégration en aval décidée par Pechiney dans le courant des années cinquante. Mais au début des années 1960, l'industrie de la transformation, enfin rationalisée, prit le relai de la fonction recherche et développement du métal remettant en cause l'existence de L'A.F. La création de ce cartel était-elle nécessaire? Sa présence permit de réguler le marché et d'assurer les profits indispensables pour réinvestir dans des projets industriels. Ses compétences techniques lui permirent d'initier et d'accompagner les processus d'innovation autour de l'aluminium et des alliages. Elle eut un rôle moteur dans la diffusion de l'aluminium en France. |
Domaine(s) d'activité : |
Métallurgie |
Typologie : |
Thèse de doctorat |
Permalink : |
https://pmb.culture.fr/opac_anmt/index.php?lvl=notice_display&id=11347 |
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Exemplaires


Titre : |
Les chemins de fer français dans la Première guerre mondiale : une contribution décisive à la victoire |
Type de document : |
Ouvrage et Inventaire |
Auteurs : |
Aurélien Prévot (1982-....), Auteur ; François Caron (1931-2014), Préfacier, etc. ; Daniel Vauvillier (Colonel), Préfacier, etc. |
Editeur : |
Auray : LR presse |
Année de publication : |
DL 2014 |
Importance : |
1 vol. (424 p.) |
Présentation : |
ill. en noir et en coul., couv. ill. |
Format : |
29 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-903651-76-3 |
Note générale : |
Bibliogr. p. 411-413 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Chemins de fer Utilisation militaire Ouvrages illustrés France 1900-1945 Guerre mondiale (1914-1918) Transport |
Résumé : |
i l’on excepte les études de l’immédiat après-guerre et les quelques travaux universitaires de ces dernières années, l’absence d’un ouvrage récent offrant un panorama, sinon exhaustif du moins suffisamment complet, se faisait cruellement sentir. Cette lacune est aujourd’hui comblée grâce à Aurélien Prévot qui, en quelque 400 pages, a tenu la gageure de couvrir les quatre années d’une guerre au cours de laquelle le chemin de fer a toujours su répondre présent, même et surtout dans les pires moments.
Plutôt qu’une histoire chronologique, Aurélien Prévot a préféré une approche thématique du sujet, plus parlante pour le lecteur et propice à une lecture « aléatoire » au gré de ses centres d’intérêt ou de ses envies. Une abondante illustration, pour une grande partie inédite et de qualité, complète cette entreprise qui, à n’en pas douter, entrera pour longtemps dans la liste des ouvrages de référence à consulter impérativement par tous ceux qui aborderont la question des transports pendant la Grande Guerre.
On notera la présence d’un index onomastique (noms des personnes et des entreprises) et d’un index toponymique (noms des lieux).
Préfaces de François Caron et du colonel (ER) Daniel Vauvillier. L’ouvrage a reçu le label « Centenaire de la Grande Guerre ».
Auteur d’une maîtrise sur l’électricité à la Compagnie du Nord soutenue en son temps d’un commun accord par Rails et histoire et le Comité d’histoire de l’Energie, Aurélien Prévot est professeur d’histoire et membre de Rails et histoire. Il collabore régulièrement à la revue Ferrovissime à laquelle il apporte toute son érudition. |
Domaine(s) d'activité : |
Transport ferroviaire, archives |
Typologie : |
Livre |
Permalink : |
https://pmb.culture.fr/opac_anmt/index.php?lvl=notice_display&id=16413 |
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Exemplaires (1)
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gxj36 | US11 (PRE) | Livre | Usuels | Communicable | Disponible |


Titre : |
Les deux Révolutions Industrielles du XXe siècles. |
Type de document : |
Ouvrage et Inventaire |
Auteurs : |
François Caron (1931-2014), Auteur |
Editeur : |
Paris : Albin Michel |
Année de publication : |
1997 |
Mots-clés : |
Industrialisation |
Résumé : |
Depuis le XVIIIe siècle, l'Occident vit au rythme des avancées technologiques: mécanisation, industrialisation et révolution informatique. Mais c'est à partir des années 1950 que ces progrès techniques finirent vraiment par engendrer une nouvelle société, celle de la consommation de masse.
Pour comprendre cet extraordinaire essor des niveaux de vie, François Caron, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Paris IV-Sorbonne, a non seulement mobilisé les instruments fournis par l'histoire des techniques et par l'économie de l'innovation, mais aussi replacé ces révolutions industrielles dans leurs contextes - celui du tournant du siècle jusqu'à la guerre de 14, celui de l'immense dynamisme qui a soutenu l'activité jusqu'au «choc pétrolier» et celui de l'explosion des nouvelles technologies de ces dernières années -, tout en analysant les relations d'interdépendance entre l'innovation et la demande sociale, entre l'innovation et la recherche institutionnalisée.
François Caron dresse un portrait saisissant du siècle qui s'achève sur une recomposition à peu près totale des logiques économiques et sociales, provoquant une situation de crise par laquelle, une nouvelle fois, se repose la question de la finalité de la science et de la technologie.
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Cote : |
H2914 |
Permalink : |
https://pmb.culture.fr/opac_anmt/index.php?lvl=notice_display&id=3544 |
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Exemplaires (1)
|
3714 | H2914 | Livre | Ouvrages | Communicable | Disponible |

Permalink
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