Bibliothèque des Archives nationales du monde du travail
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2 recherche sur le mot-clé '…migration et immigration'
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Titre : Belges et Français du Nord : une histoire partagée Type de document : Ouvrage et Inventaire Auteurs : Jean-Pierre Popelier (1936-....), Auteur Editeur : La Voix du Nord Année de publication : DL 2009 Collection : Les patrimoines, ISSN 1273-0173 Importance : 1 vol. (51 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84393-134-5 Prix : 7 EUR Note générale : Bibliogr. p. 50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Belges France Nord-Pas-de-Calais (France) 1800-.... Belgique …migration et immigration Motte bossut Résumé : « Belges et Français du Nord, une histoire partagée ». L'auteur, Jean-Pierre Popelier, arrière-petit fils de tisserand belge installé à Croix vers 1850, revient sur un phénomène migratoire à l'origine de la richesse de la région. Son père fut francisé d'office en 1889 par une loi de la République.
Le petit ouvrage permet de se remémorer une histoire trop souvent tue. On y retrouve des images qui nous parlent de quartiers à dominante belge conséquence directe d'une immigration.
Ce fut en particulier le cas de concentrations de population dans le secteur de l'église des Récollets à Roubaix, ou encore à Wazemmes à Lille.
Jusqu'au recensement de 1901, les Belges étaient les étrangers les plus nombreux en France et dans le Nord. Ils furent même majoritaires dans certaines agglomérations comme Roubaix, par exemple. Pendant vingt ans, elle fut... la quatrième ville belge du monde.
On y retrouve aussi le célèbre Gustave Dron. Le député-maire de Tourcoing est à l'origine d'une série de lois sur les accidents du travail en 1898. Ces lois instauraient l'assistance médicale gratuite, l'aide à l'enfance et l'assistance aux vieillards et aux handicapés. Cependant, elles ne s'appliquaient pas aux travailleurs belges non résidents en France ! Un élément favorisant les installations dans la région. Il faut savoir aussi que dans le même temps, les Belges appliquaient déjà le principe de bienfaisance à tous et sans réserves ! Ce n'est qu'en 1904 que des accords bilatéraux franco-belges ont mis sur un pied d'égalité les protections diverses.
Jean-Pierre Popelier évoque aussi la presse spécialisée de l'époque. Ainsi, existait Het vlaamsch kruis (La Croix flamande), éditée à Lille pour la communauté flamande et un journal bilingue Les amitiés franco-belges, entre les deux guerres.Domaine(s) d'activité : Histoire sociale Typologie : Livre Permalink : https://pmb.culture.fr/gestion_anmt/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=104 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Statut Disponibilité GEN130885 H6833 Livre Ouvrages Communicable Disponible
Titre : Immigrés de force : les travailleurs indochinois en France, 1939-1952 Type de document : Ouvrage et Inventaire Auteurs : Pierre Daum (19..-....), Auteur ; Gilles Manceron (19..-....), Préfacier, etc. Editeur : Arles : Éd. Solin-Actes Sud Année de publication : impr. 2009 Importance : 1 vol. (277 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-8222-2 Prix : 23 EUR Note générale : Bibliogr. p. 275-277 Langues : Français (fre) Mots-clés : Travailleurs étrangers indochinois France 20e siècle Travail forcé …migration et immigration Résumé : Après soixante-dix années de silence, voici enfin mise en lumière une page enfouie de l'histoire coloniale française : le recours, pour travailler dans l'Héxagone, a une main-d'oeuvre immigrée de force. Déja, en 2006, le film Indigènes, de Rachid Bouchareb, avait révélé un aspect peu connu de l'utilisation des peuples colonisés lors de la Seconde Guerre mondiale. Or, à cette époque, la France n'avait pas seulement besoin de soldats, mais aussi d'ouvriers, afin de remplacer les Français mobilisés. Pour les travaux les plus pénibles, comme ceux du maniement des poudres dans les usines d'armement, la France fit venir en 1939 vingt mille Indochinois de sa lointaine colonie d'Extrême-Orient. Recrutés pour la plupart de force, débarqués à la prison des Baumettes à Marseille, ces hommes furent répartis à travers la France dans les entreprises relevant de la Défense nationale. Bloqués en Métropole pendant toute la durée de l'occupation allemande, logés dans des camps à la discipline très sévère, ils furent loués, pendant plusieurs années, par l'Etat français à des sociétés publiques ou privées - on leur doit le riz de Camargue -, sans qu'aucun réel salaire ne leur soit versé. Ce scandale se prolongea bien après la Libération. Renvoyés vers le Viêtnam au compte-gouttes a partir de 1946, ce n'est qu'en 1952 que les derniers de ces hommes purent enfin revoir leur patrie. Un millier fit le choix de rester en France. Après trois ans de recherches en archives et d'enquête, menée dans les banlieues de Paris et de Marseille, et jusqu'à Hanoi et aux villages les plus reculés du Viêtnam, Pierre Daum a réussi à retrouver vingt-cinq des derniers acteurs encore vivants de cet épisode si peu "positif" de l'histoire coloniale française. C'est leurs récits qu'il nous restitue dans ce livre. Domaine(s) d'activité : Archives Typologie : Livre Permalink : https://pmb.culture.fr/gestion_anmt/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=996 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Statut Disponibilité GEN125103 H2366 Livre Ouvrages Communicable Disponible