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Mention de date : 2016
Paru le : 17/01/2019 |
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| 2782 | rangé dans les périodiques | Périodique | DRAC Alsace documentation | CID-Archéologie | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierUn quartier antique de Brocomagus / Brumath (7-9 rue du Général Rampont), Bas-Rhin / Pascal FLOTTE in Revue archéologique de l'Est, 65 (2016)
Titre : Un quartier antique de Brocomagus / Brumath (7-9 rue du Général Rampont), Bas-Rhin Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal FLOTTE, Auteur ; ALLONSIUS, Clothilde, Collab. ; BEBIEN, Cécile, Collab. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 27-59 Langues : Français (fre) Catégories : [Thésaurus Chronologique] ANTIQUITE
[Archéologie] auberge
[Archéologie] casque
[Archéologie] coffre en bois
[Archéologie] fossé
[Archéologie] habitat
[Archéologie] thermes
[Archéologie] villeTags : Gallo-romain Triboques Résumé : L’urbanisme de la capitale de cité des Triboques, Brumath/Brocomagus, est relativement mal connu et la plupart de ses monuments publics ne sont pas localisés. L’habitat est très partiellement documenté par quelques fouilles récentes restées inédites à ce jour.
L’intervention archéologique réalisée en 2009 rue Rampont apporte des données nouvelles et précises sur le développement spatial et chronologique d’un secteur central de l’agglomération. Les premières installations, qui s’inscrivent entre la fin du Ier siècle av. J.-C. et le début du Ier siècle ap. J.-C., posent la question de l’origine de la ville et des modalités de son développement. Le caractère urbain est nettement perceptible à partir des années 30/40 de notre ère avec la mise en place d’un quartier d’habitation et de thermes publics. L’organisation parcellaire fait l’objet de restructurations dans la seconde moitié du Ier siècle avant de devenir stable du IIe siècle à la fin du IIIe siècle. Les terrains ne sont plus bâtis au cours de la première moitié du IVe siècle, à part le bâtiment des thermes, partiellement occupé. Une nouvelle organisation d’habitat se met en place dans la seconde moitié du IVe siècle jusqu’au ve siècle, témoignant du dynamisme tardif de l’agglomération.Note de contenu : 1. La ville de Brumath à l’époque romaine
1.1. Localisation de Brumath
1.2. Brumath : état des connaissances
1.2.1. Les sources historiques
1.2.2. Historiographie
1.2.3. État des connaissances
1.3. La fouille de la rue Rampont
2. Les premières installations : problèmes d’interprétation et de chronologie (période 3 : Ier siècle av. J.-C. / vers 30-40 de notre ère)
2.1. Les constructions de la période 3
Période 3-phase 1 (fig. 3 et 4)
Période 3-phase 2 (fig. 5)
Période 3-phase 3 (fig. 6 et 7)
Période 3-phase 4 (fig. 8)
Période 3-phase 5 (fig. 9)
Période 3-phase 6 (fig. 10)
Période 3-phase 7 (fig. 11 et 12)
Période 3-phase 8 (fig. 13 et 14)
Période 3-phase 9 (fig. 15)
2.2. Le mobilier céramique
2.3. Chronologie de la période 3
2.4. Bilan de la période 3
2.5. Les origines de Brumath-Brocomagus
3. Aperçu d’un quartier de Brumath-Brocomagus, de 30-40 ap. J.-C. au début du IVe siècle (période 4)
3.1. De 30-40 à 80 ap. J.-C. (période 4, phases 1 et 2)
3.1.1. Quatre parcelles d’habitat (zone 1)
3.1.1.1. Période 4-phase 1 (30/40 ap. J.-C.- 60 ap. J.-C.) (fig. 18 à 20)
3.1.1.2. Période 4-phase 2 (vers 60-80 ap. J.-C.) (fig. 21 à 23)
3.1.1.3. L’organisation parcellaire des années 30/40 à 80 ap. J.-C.
3.1.2. État 1 du bâtiment maçonné (zone 2)
3.1.3. Le mobilier céramique
3.2. De 80 à 100 ap. J.-C. (période 4-phase 3)
3.2.1. Une maison et un espace vide (zone 1) (fig. 25 et 26)
3.2.2. État 2 du bâtiment maçonné : un édifice thermal (zone 2) ? (fig. 25 et 26)
3.2.3. Le mobilier céramique
3.3. De 100 ap. J.-C. au début du IVe siècle (période 4, phases 4 à 8)
3.3.1. Deux habitations séparées par un ambitus (zone 1)
3.3.1.1. Période 4-phase 4 (100-140 ap. J.-C.) (fig. 27 et 28)
3.3.1.2. Période 4-phase 5 (140-210 ap. J.-C. environ) (fig. 29)
3.3.1.3. Période 4-phase 6 (210-280 ap. J.-C. environ)
3.3.1.4. Période 4-phases 7 et 8 (vers 280 ap. J.-C.-début du IVe siècle) (fig. 36 et 37)
3.3.1.5. Le mobilier céramique des phases 6 à 8
3.3.1.6. Bilan et interprétation de l’occupation de la zone 1 : une auberge du centre de Brumath ?
3.3.2. États 3 et 4 du bâtiment maçonné : des thermes publics (zone 2)
3.3.2.1. État 3 (fig. 27, 28, 29)
3.3.2.2. État 4 du bâtiment maçonné (fig. 32, 33, 34, 36, 37)
4. Un secteur réorganisé dans la première moitié du IVe siècle (période 5)
4.1. Une cour ou un terrain vague (zone 1)
4.2. Un fossé urbain (zones 1 et 2) (fig. 42)
4.3. Le bâtiment thermal en partie utilisé (état 5)
5. Les habitats de la seconde moitié du IVe siècle jusque dans le courant du Ve siècle (période 6)
5.1. Période 6-phase 1 (seconde moitié du IVe siècle) (fig. 43)
5.2. Période 6-phase 2 (seconde moitié du IVe-milieu du Ve siècle) (fig. 44)
5.3. Le mobilier céramique des périodes 5 et 6
En ligne : https://journals.openedition.org/rae/8722 Permalink : https://pmb.culture.fr/opac/index.php?lvl=notice_display&id=12043
in Revue archéologique de l'Est > 65 (2016) . - p. 27-59[article]Réservation
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Titre : Un dépôt de renard roux (Vulpes vulpes) du 4e millénaire av. J.-C. à Entzheim "Les Terres de la Chapelle" (Bas-Rhin): offrande ou sépulture animale? Type de document : texte imprimé Auteurs : GUTHMANN, Emilie, Auteur ; Philippe LEFRANC, Auteur ; Rose-Marie ARBOGAST, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 257-268 Langues : Français (fre) Catégories : [Thésaurus Chronologique] NEOLITHIQUE
[Archéologie] canidé
[Archéologie] dépôt
[Archéologie] sépulture d'animaux
[Archéologie] tombe en fosse
[Thésaurus Géographique] ENTZHEIM (67)Tags : Munzingen Michelsberg Résumé : L’habitat Néolithique récent d’Entzheim « Les Terres de la Chapelle » (cultures de Michelsberg et de Munzingen), fouillé en 2008-2009, a livré les restes en connexion anatomique d’un renard roux reposant sur le fond d’une fosse de plan circulaire. L’animal, installé en position du repos, était accompagné d’un grand fragment de gobelet et de fragments osseux d’un fémur et d’un tibia de jeune bovin. La date radiocarbone réalisée sur os confirme l’attribution à la culture de Munzingen (3783-3695 cal. BC à 1 σ). Nous proposons d’analyser ce dépôt selon deux hypothèses : celle du dépôt d’offrande et celle de la sépulture animale. Les nombreux dépôts d’animaux entiers réalisés en Alsace au cours du 4e millénaire impliquent essentiellement des espèces domestiques et familières (bœuf, porc, ovicaprinés et chien) ou sauvages (jeunes cervidés peut-être apprivoisés et lièvres). Le renard n’apparaissant pas dans le spectre des animaux consommés au Néolithique récent, la thèse du dépôt d’offrande est difficile à argumenter. Nous privilégions, en nous appuyant sur l’existence de sépultures de chiens au Mésolithique et au Néolithique, l’hypothèse d’une véritable sépulture animale. Il pourrait s’agir, à l’image des quelques carnivores proche-orientaux retrouvés en contextes funéraires (renard et chat sauvage), d’un animal apprivoisé bénéficiant d’un traitement particulier résultant de sa familiarité avec l’homme. En ligne : https://journals.openedition.org/rae/8868 Permalink : https://pmb.culture.fr/opac/index.php?lvl=notice_display&id=12044
in Revue archéologique de l'Est > 65 (2016) . - p. 257-268[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2782 rangé dans les périodiques Périodique DRAC Alsace documentation CID-Archéologie Disponible
Titre : Une sépulture tardive du campaniforme régional à Rouffach 'Rue de Pfaffenheim" (Haut-Rhin) Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe LEFRANC, Auteur ; Anthony DENAIRE, Auteur ; Fanny CHENAL, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 269-278 Langues : Français (fre) Catégories : [Thésaurus Chronologique] NEOLITHIQUE
[Archéologie] céramique campaniforme
[Archéologie] sépulture féminine
[Archéologie] technologie de l'os
[Thésaurus Géographique] ROUFFACH (68)Résumé :
La tombe campaniforme mise au jour sur la commune de Rouffach en juin 2014 a livré les restes d’une femme en décubitus latéral droit, orientée sud-nord. Le mobilier funéraire consiste en un pichet et en une série de dix-sept boutons en os à perforation en V. La datation radiométrique réalisée permet d’attribuer cette tombe à la fourchette 2287-2151 av. J.-C à 1 σ (2397-2061 à 2 σ), soit à une étape récente ou tardive du Campaniforme. Nous soulignons l’étroite parenté entre des rites funéraires du Campaniforme d’Alsace et d’Europe centrale et insistons sur la pleine appartenance du sud de la plaine du Rhin supérieur à la Koinè danubienne au cours du 3e millénaire avant notre ère.
Note de contenu : Description du dépôt
Une inhumation dans la tradition du Campaniforme oriental
Une tombe isolée ?
Les mobiliers
La céramique
Les boutons en os à perforation en V
Attribution chronologique et datation absolue
Haut de page
Texte intégral
En ligne : https://journals.openedition.org/rae/8679 Permalink : https://pmb.culture.fr/opac/index.php?lvl=notice_display&id=12045
in Revue archéologique de l'Est > 65 (2016) . - p. 269-278[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2782 rangé dans les périodiques Périodique DRAC Alsace documentation CID-Archéologie Disponible
Titre : "Comnisca, fils de Vedillus, Ambien, cavalier dans l'aide Indiana": étude pé&trographique de l'exceptionnelle stèle funéraire découverte à Strasbourg Type de document : texte imprimé Auteurs : Christoph HARTKOPF-FRÖDER, Auteur ; Florent JODRY, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 341-347 Langues : Français (fre) Catégories : [Thésaurus Chronologique] ANTIQUITE
[Archéologie] armée romaine
[Archéologie] calcaire
[Archéologie] cavalier
[Archéologie] pétrographie
[Archéologie] stèle funéraire
[Thésaurus Géographique] STRASBOURG (67)Tags : Argentorate Koenigshoffen Nécropole Résumé : À proximité du camp romain d’Argentorate, le faubourg de Koenigshoffen comprend une vaste zone de nécropole utilisée dès les premiers temps de l’occupation antique du site. Un diagnostic archéologique réalisé en 2013 au 8-20 route des Romains a permis de mettre au jour de nouvelles crémations qui viennent compléter nos connaissances sur ces espaces de nécropoles. À cette occasion également, une nouvelle stèle funéraire intacte a été mise au jour en remploi dans les fondations d’une maison. Son extraction à la pelle mécanique a entraîné très peu de dégâts et les quelques fragments de roche détachés ont été gardés pour être déterminés. L’analyse pétrographique du matériau permet d’identifier un calcaire d’âge bajocien (Jurassique moyen), dont aucun affleurement n’existe à moins de 100 km de distance, ce qui ouvre des perspectives intéressantes sur l’économie de la pierre dans les premières décennies en Gaule de l’Est. Note de contenu : Contexte archéologique
La stèle de Comnisca
Description de la roche et analyse pétrographique
Origine du calcaire
ConclusionEn ligne : https://journals.openedition.org/rae/8920 Permalink : https://pmb.culture.fr/opac/index.php?lvl=notice_display&id=12046
in Revue archéologique de l'Est > 65 (2016) . - p. 341-347[article]Réservation
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