Résumé : |
Le Majorquais Miquel Barcelo a choisi le voyage comme forme d'apprentissage. New York, Paris, les capitales occidentales et puis un jour l'Afrique (le Mali), pour sortir de ses habitudes et de ses références aussi. Dans ce pays plein de poussière, il passe du travail lent sur grand format au lavis à l'encre de chine, pour de fugaces impressions d'Afrique toutes de poésie. Traitée elle aussi comme un lavis en noir et blanc, l'image attachante et sensible que donne Camille Guichard du travail de Miquel Barcelo en Afrique, restitue la nature délicate, réfléchie de ce jeune artiste qui peint pour passer le temps et exprimer ce qui ne peut se dire. |